Moi ça me dis ^^ Je ne sais pas ce que ça va donner mais je veux bien essayer .

Pour te le rendre comment faire? Un commentaire sur ton blog?

ah ah! je suis super interresé! je vais essayé de l'écrire et je commence à l'instemp même!!!!!!! tu vas voir, je vais m'investir comme pas possible!!!!! Les défi ça me connais et je te suis super reconaissante pour le comentaire que tu m'as laissé!
alors en ce moment... j'écrit un suite ''plausible'' de ta fiction!!!!! merci beaucoup! je trouve ton idée GÉ-NI-A-LLE!!!

Voilà, il est fini et poster, dernière page de mon blog ^^

Hermione ouvrit les yeux brutalement et, effrayée, regarda à côté d’elle. Il était toujours là, endormi son bras autour de ses hanches, le visage doux mais torturé. Elle le regarda encore, puis, soulagée, lui baisa le coin des lèvres. Malefoy ouvrit à son tour les yeux.
- Hello, lui chuchota-t-elle.
Malefoy lui sourit, et la serra un peu plus contre son torse. Ils restèrent ainsi jusqu’à la sonnerie d’appel pour le petit déjeuner, mirent en vitesse leurs robes de sorcier, et se dirigèrent ensemble vers la Grande salle. Ils se quittèrent sur le pas de l’immense porte d’entrée, certains de ne pas avoir été remarqués.
Hermione alla s’asseoir à côté de ses deux amis, pendant que Malefoy s’installait à la table des Serpentards. Elle lui jeta un dernier regard, puis se concentra finalement sur ce que Dumbledore avait à dire. La plupart des élèves rentreraient chez eux le soir même, à cause des vacances de Noël, aussi Dumbledore suggéra, pour égayer les vacances de ceux qui resteraient, un bal de Noël, sous le même principe du bal Inter-Poudlard : les élèves devront avoir des cavaliers d’autres maison.
-Évidemment ! s’énerva Ron, je suis sûr qu’il le fait exprès, et moi pendant ce temps je serai en train d’ouvrir un nouveau pull tricoté par Maman. La vie est injuste.
-Allez, si tu veux un bal, tu n’auras qu’à demander à Molly , je suis sûre qu’elle sera ravie d’être ta cavalière, rit Harry. Et puis, il ne va pas y avoir grand monde, alors que nous serons tous les trois au coin d’un feu, à plaisanter et à se moquer de nos pulls !
Hermione rougit :
-Je ne serai pas présente, cette année. Moi je reste à Poudlard. Vous savez, pour aider … C’est aussi le rôle des préfets…
- Quoi ? N’importe quoi ! Le préfet de Serdaigle rentre chez lui, il me l’a dit ce matin, personne n’a besoin de vous ! renchérit Ron.
-Mais en plus, je n’ai pas très envie de voir la nouvelle amie de mon père et …
-Mais si tu viens au Terrier ! s’exclama Ron.
-Non, les garçons, cette fois je ne viendrai pas. Mais j’ai pensé à vous, j’ai deux jolis cadeaux pour mes meilleurs amis, je vous les donnerai ce soir, à condition que vous ne les ouvriez pas avant le la veillée de Noël, sourit Hermione.
-Hermione, dit Harry d‘un air sceptique, mais tu ne vas pas t’ennuyer ?
-Mais non ! Je réviserai, vous savez que je ne m’ennuie jamais avec un livre !
Et elle sourit, encore. Trop, peut-être. Mais ses deux amis la fixèrent, en fronçant les sourcils. Elle ne savait pas mentir, cependant ils n’avaient pas la moindre idée de la raison pour laquelle elle désirait rester.
-Bon, alors écris-nous, si jamais tu t’ennuies. On t’envoie du rêve en quelques minutes, dans son sens premier bien sûr ! C’est l’avantage de faire de la magie ! plaisanta Harry, pour détendre l’atmosphère.
-J’ai entendu que Malefoy restait aussi … Ne te suicide pas, pense qu’à part lui, la majorité des gens sont fréquentables, reprit Ron.
-Ne vous en faites pas pour moi, et puis vous savez, finalement Malefoy n’a pas l’air si mauvais …
-Pas l’air si mauvais, la coupa Ron, mais enfin tu plaisantes ! Hé, Hermione, c’est celui qui te traite de sang de bourbe depuis ta première année à l’école, celui qui ne te considère même pas comme une demi sorcière, celui qui se moque de toi dés qu’une occasion est florissante ! Réveille toi, pas si mauvais que ça, mais quoi il t’a donné de la drogue ?!
-Mais non ! C’est simplement que justement, je ne le croise même pas, et puis …
-Oui, il doit être en pleine mission avec les mangemorts, dit nonchalamment Harry.
Elle ne dit rien, et ferma les yeux, épuisée mentalement et physiquement. Elle en avait assez, de leur mentir à tous les deux. Ils avaient toujours compris tellement de choses, et là c’était un poids terrible, non c’était même insupportable, tant le secret était dur. D’habitude, elle partageait toujours tout avec eux, au moins avec Harry, et ils prenaient ainsi avec eux un petit peu de sa peine, qui devenait alors de plus en plus légère avant de s’estomper. Mais là, elle avait le sentiment qu’ils ne comprendraient pas. Même s’ils lui faisaient confiance, ce coup-ci elles ne les rallierait pas à sa cause.
-Hermione ? … Hermione ?
Elle revint subitement à la réalité, rouvrit les yeux, et vit ses deux amis inquiets, l’air interrogatif.
-Tu es sûre que ça va ? demanda Harry.
Dans son dos, elle aperçut au loin Malefoy, qui la regardait intensément. Elle se perdit quelques secondes de plus dans ses yeux bleus, transparents, purs, puis sourit à ses deux amis, de plus en plus dubitatifs.
-Mais oui ! Bien sûr que ça va ! C’est Noël, comment se pourrait-il en être autrement ?! Allez, venez, allons préparer vos valises !

Le soir, Hermione accompagna les élèves à la gare, puis salua Ron et Harry à la vitre du train pendant qu’ils s’éloignaient. Quand ils ne furent plus qu’un point imperceptible, elle se retourna, et tomba sur Drago, derrière elle, qui la fixait. Elle lui rendit son regard, électrique, avant de se trouver intéressée par une silhouette bleue, avec un grand chapeau, dans son champ de vision. C’était Dumbledore, qui n’avait rien raté de cette scène si tragiquement éloquente, pour si peu de mots pourtant. Le directeur lui sourit, puis fit volte face. Il était temps de rentrer.
Hermione fut prise toute la soirée pour indiquer les consignes et le programme des vacances aux élèves et, vers vingt-trois heures, elle se rendit enfin à sa chambre. Au même moment, Malefoy arrivait, du côté opposé. Il la vit, et lui fit un petit sourire.
-Bonsoir, Mademoiselle la préfet en chef.
Elle le regardait intensément.
-Ouvrons la porte, qu’en pensez-vous ?
Hermione s’esclaffa. Son ton l’amusait. Elle n’avait toujours rien dit. Ils entrèrent dans leur salle commune, et, à peine referma-t-elle la porte, qu’elle sentit des baisers tendres dans le creux de sa nuque, puis sur son épaule. Malefoy la retourna, et lui embrasse les paupières, les joues, et enfin les lèvres. Elle lui rendait ses baisers, emplie d’une chaleur qu’elle ne saurait définir. Tout allait très vite, très fort, les mains du garçon descendaient plus bas, se faisaient pressantes, assurées. La tête de la jeune fille lui tournait, et elle arrêta subitement les mains de Malefoy. Il la regarda, coupé dans son élan. Leurs yeux ne se quittaient plus, et il y lut son innocence mêlée à la surprise, et à un peu de peur, peut-être. La peur de l’inconnu. Il l’embrassa tendrement, enivré par son parfum, si discret, puis lui prit la main, l’emmenant vers sa chambre. Ils se couchèrent, lui derrière elle, sentant le miel de ses cheveux, elle songeuse, captant toute la chaleur de ce corps , réactif à chacun de ses plus infimes mouvements.
Soudain, il lui chuchota à l’oreille :
-Seras-tu ma cavalière, Hermione ?
Elle frémit sous cette voix suave, si douce à entendre. Puis elle rit :
-Que penseront les autres ?
-Allez, on s’en moque, et il n’y aura personne pour colporter des ragots !
-Je n’ai pas de tenue … dit-elle gênée.
-Mais quelle mauvaise excuse ! se moqua le jeune homme. Une sortie est prévue demain à Pré au lard, et, au fait, tu seras magnifique, lorsque nous aurons tous les deux choisi ta robe.
Elle se tourna vers lui, et tomba sur son air provocateur, qui l’aurait tant énervée auparavant mais qui, du reste, aujourd’hui, la fit fondre.

Le lendemain, ils se rendirent donc à Pré au lard, pour le choix de leurs tenues. Hermione tenait le bras de Malefoy, et avait la tête posée sur l’épaule musclée du garçon ce pendant qu’ils marchaient en ce froid hivernal. C’était tellement agréable, de s’afficher ainsi. Elle souriait sans s’en apercevoir, ce qui finit par inquiéter Drago.
-Qu’est-ce que tu as, à la fin, tu n’arrêtes pas de sourire.
Elle lui donna une petite tape.
-Puisque tu réagis de cette manière, je ne te le dirai pas.
Drago essaya de saisir ses lèvres.
- … Et ne pense même pas à m’embrasser, dit-elle d’une voix mutine.
S’en suivit une douce lutte, déjà perdue pour la jeune fille, qui se laissa finalement cueillir.
Ils arrivèrent devant le magasin, et se décidèrent à pousser la porte pour entrer. Après quelques sélections, chacun se rendit dans sa cabine respective. Malefoy sortit le premier. Hermione passa la tête par le rideau, et l’examina. Il était très beau. Le garçon quant à lui, pressé, ouvrit en grand le rideau pour pouvoir voir la tenue de la jeune fille. Il la regarda, un peu sceptique.
-Qu’est-ce qu’il y a? demanda-t-elle.
Malefoy se mit à rire, doucement, au début, puis de plus en plus fort. Hermione, vexée, rouge de honte, ferma brutalement le rideau de sa cabine. Malefoy rit encore un peu, puis se calma :
-Allez, écoute, excuse moi. Il rit encore un peu. Je suis désolé, allez ouvre le rideau.
-Non. Laisse-moi, espèce de crétin.
-Allez, Hermione, c’est juste que … Mais quoi, tu es obligée de prendre une tenue aussi vieillotte ? Regarde-toi, tu es magnifique, n’ais pas peur de montrer tes courbes !
-Évidemment, c’est facile pour toi, qui es toujours si parfait, si sûr de toi, mais c’est compréhensible parce que tout te va ! Mais tu ne peux pas te mettre à ma place, non tu ne peux pas hein ! Et puis …
Elle s’arrêta de parler, il venait de lui tendre un porte manteau, avec une robe de soirée magnifique. Elle regarda ce vêtement, effrayée, avec de grands yeux.
-Mais tu plaisantes ? Je ne peux pas mettre cela.
-Bien sûr que si, allez essaye-la, tu es magnifique.
La jeune fille obtempéra. Elle enfila délicatement la robe par la tête, puis fit glisser le tissus jusqu’à ses jambes. Elle ouvrit le rideau, un peu mal à l’aise.
-Aide-moi à remonter la fermeture.
Une fois effectué, elle se tourna vers Malefoy, qui avait un tout autre regard, cette fois-ci. Il la regarda de haut en bas, la détailla dans tous ses angles, sous toutes ses courbes, si délicates. Hermione rougit.
-Arrête de me regarder comme cela, qu’est-ce que tu en penses ?
-J’en pense que ce serait moins dangereux pour toi si tu prenais la robe de l’arrière grand-mère de Dumbledore ! Parce que dans celle-ci, tu es délicieuse.
Et il plongea ses yeux dans les siens, rieurs. De plus en plus embarrassée, elle rentra dans sa cabine, et referma le rideau.
-Bon je… je vais prendre celle-là alors. Quant à toi tu … euh … toi aussi tu es excq … très beau.

Une bonne partie de l’après-midi était passée alors, et il fut temps de commencer à se préparer. Hermione se regarda dans le miroir. Elle était anxieuse, c’était trop de bonheur, trop de partage, trop de perfection … Est-ce que cela allait réellement durer ? Elle était inquiète, inquiète d’un trou noir, d’une fin brutale d’un …
-Hermione ? Tu es prête ?
C’était Malefoy. Elle respira un grand coup, puis sortit. Il la regardait en la mangeant des yeux.
-Mais cesse donc de me regarder ainsi, lui dit-elle amusée.
-Quoi mais comment est-ce que je dois te regarder ? Si tu es belle, je te regarde … si tu es délicieuse je te mange … Il se tut, regarda sa réaction du coin de l’oeil, amusé.
-Idiot !
Elle lui donna une petite tape. Lui se mit à rire. Ils arrivèrent devant la porte de la grande salle. Tous les élèves étaient là, et ils étaient chargés, tous deux, d’ouvrir le bal. La musique démarra, douce ; Malefoy posa sa main dans le bas du dos de Hermione, et ils avancèrent. Les deux jeunes gens se firent face, Malefoy mit alors sa main sur la hanche de Hermione, laquelle déposa ses doigts sur sa nuque ; ils se regardèrent, brûlants, puis commencèrent à danser. Les autres élèves suivirent, pendant que nos deux préfets ne se quittaient pas des yeux, se frôlant, puis s’écartant, pour se rapprocher à nouveau, avides de leurs chaleurs respectives, de se sentir toujours plus. Hermione ferma les yeux, et ce fut magique -elle rit à cette pensée-. Malefoy respirait sa fragrance, ivre de sa beauté. Et ils continuèrent, sans penser, se nourrissant simplement l’un de l’autre, comme s’ils étaient seuls au monde, seuls contre tous. Et, ils ne le savaient pas encore, mais ils l’étaient, seuls contre tous …
La soirée fut parfaite, les gens discutaient, et il n’était plus question d’aucune appartenance à l’une des quatre maisons. Ils étaient un groupe, tous ensemble, et ils s’amusaient, tous ensemble. Des couples se formaient, sans penser au lendemain, où ils se déferaient peut-être, désapprouvés, par les amis des concernés. Et la soirée continuait, emplie d’éclats de rire, d’aspirations, de rêves.

Hermione et Malefoy courraient dans les couloirs de Poudlard, riant à l’infini, seulement guidés par la main de l’autre. Ils arrivèrent devant la porte de leurs chambre, un sourire encore perceptible sur leurs lèvres. D’un coup, ils ne parlaient plus. Ils pénétrèrent dans leur salle commune, étrangement gêné par cette ambiance indéfinissable. Malefoy défit quelques boutons de sa chemise, dévoilant ainsi le haut de son torse, ce qui n’échappa pas à Hermione, qui détourna aussitôt le regard, embarrassée. Malefoy, rieur, s’approcha d’elle, et lui prit la tête dans ses mains. Il lui caressait les cheveux, tout en lui donnant de doux baisers. Elle, se laissait faire, sienne à présent, enivrée par son parfum. Elle sentait ses mains pressantes sur le tissus de sa robe, mais elle n’était pas prête. Elle se recula, doucement, en lui souriant.
-Je … Je vais aller me coucher, demain il y aura sans doute beaucoup à faire, à cause de la soirée, il ne faudrait pas que nous soyons fatigués … Et euh … Bon enfin je vais me coucher.
Elle lui fit un baiser hâtif, puis se retourna et, alors qu’elle était prête à entrer dans sa chambre, elle l’entendit :
-Je t’aime
Elle ferma les yeux, sourit, puis appuya sur la poignée de la porte. Elle se coucha, et sombra aussitôt dans un profond sommeil, hantée par lui, bien évidemment.

Voilà, c'est mon essai de suite pour ton histoire. :)
Je t'embrasse.

par contre désolée j'ai vu le message que samedi, donc je te le rendrai aujourd'hui.

par contre j'éspère qu'il sera pas trop grand parce que j'y ai mis toute mon immagination =D

désolée si c'est pas terrible, j'ai eu qu'une heure pour le faire...=(

a ba finalement il est pas si grand que ça...Et au fait, c'est quoi Musilac?